On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.
Une méthode douce qui apporte calme, bien-être et équilibre. La pratique régulière de la cohérence cardiaque vous permet de retrouver de l’énergie et d’amplifier vos champs de conscience. C’est en cela un atout pour améliorer vos performances.
Cette technique simple et ses applications réduisent également la tension artérielle, la dépression, aide à réguler et aligner les activités du cœur et du cerveau pour favoriser un bien-être général.
Une pratique régulière de la cohérence cardiaque donne accès à une connaissance de soi approfondie qui favorise la concentration, la maîtrise de ses pensées et émotions, un bien-être personnel et des relations plus harmonieuses.
En conclusion, avec la cohérence cardiaque, le coach reçoit un biofeedback instantané de l’état de la personne et peut ainsi mieux appréhender sa demande et comprendre les interactions entre ses pensées, ses émotions et ses comportements.
La cohérence cardiaque est née aux États-Unis il y a plus d’une vingtaine d’années, son concept est issu de recherches médicales en neurosciences et en neurocardiologie. Les recherches de l’Institut HeartMath en Californie ont mis au jour le rôle essentiel du cœur sur notre état d’être physique, mental et psychologique. En effet, on observe une interaction naturelle entre l’activité du cœur et ses répercussions sur le fonctionnement du cerveau, en particulier dans la gestion du stress. Le docteur David Servan Schreiber l’a introduite en France dans les années 1990 (« Guérir le stress, l’anxiété et la dépression sans médicaments ni psychanalyse »).
Au 18ème siècle, le médecin italien Antonio Marie Valsalva remarqua que le cœur se synchronisait avec la respiration en accélérant à l’inspiration et en ralentissant à l’expiration.
Son principe est simple, à partir de la fréquence cardiaque, soit le pouls, on observe la capacité du cœur à accélérer et à ralentir. La Variabilité Cardiaque (VAE) se mesure par l’activité le Système Nerveux Autonome (SNA) partagé en deux sous-systèmes : le nerf sympathique et le nerf parasympathique.
A l’aide d’un capteur et d’un logiciel on peut mesurer l’amplitude de la VAE et ses répercussions sur la physiologie des personnes.
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